Des vacances où “tout” est possible ? Avec Gaël, nous n’avons de cesse de dire aux enfants qu’on ne peut pas tout vouloir ni tout avoir... Mais pourquoi se priver quand on est en vacances ? Vous l’aurez compris, notre séjour sur la côte basque est celui de tous les possibles...
Pieds dans l’eau le matin et sac à dos l’après-midi ? Grand écart réussi en 15 min de route ce lundi, de la baie abritée de Saint-Jean-de-Luz au village pittoresque d’Ascain, point de départ de l’emblématique Rhune. Au sommet, quelle émotion ! Ce n’est pas son ascension qui coupe le souffle mais son panorama : l’Atlantique, les Pyrénées, la campagne verdoyante... sensation de plénitude !
Au retour, les enfants avaient chaud : pause baignade au lac de Saint-Pée-sur-Nivelle !
Nous souhaitions aussi des journées sans voiture. Notre location à Hendaye est en ce sens le QG parfait : 3 km de plages de sable fin en plein centre-ville, minibus gratuits, Espagne en face et montagnes en vue !
Autre “revendication” : se baigner dans l’océan ok, mais en toute sécurité. Satisfaite ! Cette immense baie filtre les houles et n’accueille que de petites vagues idéales pour les enfants. Jeanne - 11 ans - y suit des cours de surf : hier elle a pris sa première vague debout, elle est complètement accro ! Alex - 7 ans - participe cet après-midi à une chasse au trésor sur le thème de la culture basque !
Vous nous connaissez, famille sportive mais gourmande aussi... Nous ne partirons pas sans faire notre pèlerinage : on troque les tongs contre des baskets, on embarque sur la navette, cap sur l’Espagne ! 5 min de traversée pour quelques tapas à Hondarribia...
Samedi, avant de repartir, détour par le marché de Saint-Jean-de-Luz : papilles, narines et pupilles, c’est un régal ces produits du terroir ! Un bocal de foie gras frais au piment d’Espelette sous le bras, nous allons pique-niquer le long du sentier du littoral, vers la petite plage d’Acotz ou au domaine d’Abbadia, qui surplombe la mer et abrite un château de style néo-gothique. Et oui, nous avons déjà nos habitudes... et on y prend goût. À tel point qu’on a déjà réservé pour la Toussaint.